“N’ayons pas peur de reconnaître nos erreurs”, encourage le pape Léon XIV L’homme ne se s...
“N’ayons pas peur de reconnaître nos erreurs”, encourage le pape Léon XIV L’homme ne se sauve pas "en cachant ses erreurs, mais en se présentant honnêtement", a affirmé Léon XIV lors de l’angélus qu’il a présidé place Saint-Pierre ce 26 octobre. Le Pape a engagé les catholiques à assumer leur "responsabilité" et à se confier à la miséricorde de Dieu. Introduisant la prière mariale ce 26 octobre, le pape Léon XIV a commenté l'Évangile du jour, où un pharisien et un publicain prient dans le Temple. Le premier "se vante d'une longue liste de mérites" et "se sent supérieur aux autres, qu'il juge avec mépris". Mais son "observance stricte de la Loi" est "pauvre en amour" et "dépourvue de miséricorde", a averti Léon XIV. Le publicain en revanche sait qu’il a "beaucoup à se faire pardonner", a poursuivi le pape. Même au prix de "regards sévères et de jugements tranchants", il a le "courage et l'humilité" de se présenter devant Dieu, "la tête baissée". Le publicain, a-t-il ajouté, "ne se renferme pas dans son monde, il ne se résigne pas au mal qu'il a fait". Léon XIV a vu dans ce passage biblique "un message puissant" : "Ce n'est pas en affichant ses mérites que l'on se sauve, ni en cachant ses erreurs, mais en se présentant honnêtement, tels que nous sommes, devant Dieu, devant nous-mêmes et devant les autres". Et d’enjoindre les fidèles : "N'ayons pas peur de reconnaître nos erreurs, de les mettre à nu en en assumant la responsabilité et en les confiant à la miséricorde de Dieu".
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UNE SOEUR PEUT-ELLE SE MARIER C'est une question que beaucoup de gens n'arrêtent pas de poser, Sr, quelqu'un à l'institut religieux ou à l'institut Qu'elle soit religieuse ou laïque, chaque Sœur prononce les trois mêmes vœux : pauvreté, chasteté et obéissance. Le vœu de chasteté signifie que la Sœur donne librement tout son cœur, son corps et son âme entièrement à Dieu. C'est une promesse sacrée de vivre dans le dévouement total pour Christ et sa mission, un mariage spirituel entre la Sœur et le Christ lui-même. C'est pourquoi une sœur religieuse ou une sœur laïque ne peut pas se marier tant qu'elle est encore une sœur. Elle a déjà conclu une alliance d'amour avec Dieu à travers ses vœux. Tout comme une femme mariée appartient à son mari, une sœur appartient entièrement au Christ. Cependant, il y a des moments où une sœur, par une prière et une réflexion profonde, peut plus tard réaliser que sa véritable vocation n'est pas dans la vie religieuse mais dans le mariage. Dans ce cas, elle peut demander la permission de quitter l'institut ou le couvent selon le processus approprié de l'Église. Une fois officiellement libérée de ses vœux, elle redevient une profane et elle est alors libre de se marier. Mais tant qu'elle reste une sœur déclarée, elle ne peut pas se marier. Vous ne pouvez pas servir deux vocations en même temps, vous êtes soit une épouse du Christ, soit une mariée dans le mariage. Les deux sont des chemins beaux, saints et nobles, mais ce sont des vocations différentes qui doivent être vécues librement et fidèlement. Beaucoup de gens pensent que Sisterhood n'est qu'une étape avant le mariage, ou qu'une sœur pourrait changer d'avis plus tard. Mais en vérité, Sisterhood est une alliance d'amour et de service à vie. Ce n'est pas un tremplin vers le mariage, c'est un mariage en soi, une union sacrée entre l'âme et le Christ. Donc pour que ce soit clair ; Une sœur ne peut pas se marier tant qu'elle est encore au couvent ou sous les vœux. Elle ne peut se marier qu'après être officiellement partie et n'est plus membre de l'institut. Les deux vocations mariage et vie consacrée, sont belles à leurs manières. Ce qui compte le plus, c'est de suivre où Dieu vous appelle vraiment. Bonjour tout le monde Que la lumière de Dieu guide vos pas aujourd'hui et toujours. AMEN !
LE JOURNALISTE HERMAN ABOA REND HOMMAGE AU PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO LAURENT GBAGBO, LA HOUE ET ...
LE JOURNALISTE HERMAN ABOA REND HOMMAGE AU PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO LAURENT GBAGBO, LA HOUE ET LA PIERRE Hommage (à titre anthume) au Père du multipartisme... Il y a des vies qui dépassent les hommes, des parcours qui s’imposent au récit d’un peuple. Celle de Laurent Gbagbo, fils de Gagnoa, enseignant devenu chef d’État, appartient à cette trempe-là. On peut l’aimer ou le dé-tester, l’ac-cuser ou l’absou-dre, mais nul ne peut effacer de la mémoire ivoirienne le sillon qu’il a tracé à la houe du com-bat et à la pierre de la conviction. C’est que Laurent Gbagbo n’a pas hérité la politique : il l’a arrachée au silence. A des époques où la pensée unique faisait loi, il osa rêver d’une Côte d’Ivoire où plusieurs voix pourraient se répondre sans s’éteindre. Le multipartisme, ce mot banal aujourd’hui, fut jadis une hérésie que lui et ses compagnons, ses camardes, ont portée à bout de bras, dans la clandestinité, la prison à répétition et l’ex-il. Le FPI ne fut pas seulement un parti, mais une brèche ouverte dans le mur de l’unanimisme imposé. Et c’est par cette brèche que la lumière de la contradiction politique a commencé à entrer dans notre République, il y a de cela près de 40 ans. Laurent Gbagbo fut donc un homme de lutte. Il a tenu tête aux inter-dits, affronté la censure, connu les cachets de la prison, avant d’atteindre le palais de la Présidence. Son accession au pou-voir en 2000 ne fut pas seulement une victoire électorale : elle fut celle d’une idée. Celle d’un peuple qui, pour la première fois, voyait l’opposition vaincre et gouverner. En cela, il demeure le symbole vivant de la démocratie arrachée, non concédée. Mais le des-tin, comme souvent, a ses rendez-vous manqués. L’homme de la refondation a connu le tumu-lte du pou-voir. Son époque fut celle des cri-ses : rébellion armée, partition du pays, querelles fratricides, et ce 11 avril 2011 qui mit fin brutalement à un rêve en laissant la nation déchirée. D'Abidjan à la Haye, en passant par Korhogo, Laurent Gbagbo a connu pi-res humiliations. Les historiens écriront les responsabilités ; les poètes retiendront la dou-leur. Et pourtant, malgré les fau-tes, malgré les excès, il faut savoir pardonner. Pardonner, non pour absoudre tout, mais pour reconnaître que même les géants trébuchent sur les pierres qu’ils ont eux-mêmes soulevées. Gbagbo a connu la gloire, la chu-te, l’humi-liation, puis le retour. Et de tout cela, il n’a pas ti-ré Vengeance, mais une leçon : le temps n’efface pas les convictions. Il les transforme. Aujourd’hui, après cette sorte d'adieu à la politique qu'il fait subtilement, qu’on le voie comme un patriarche politique, un résistant de la mémoire ou un homme vieillissant sous le poids de l’Histoire, Laurent Gbagbo mérite qu’on lui rende justice : celle du legs. C’est lui qui a rétabli la pluralité dans le débat public. C’est lui qui a redonné aux Ivoiriens la fierté du mot “opposition”. L’Histoire n’appartient pas aux vainqueurs du moment, mais à ceux qui ont o-sé la contredire. Et de ce point de vue, Laurent Gbagbo reste debout dans le cœur de la Côte d’Ivoire, des Ivoiriens, non pas comme un Saint, mais comme un semeur. Celui qui, au prix de ses cicatrices, a fait germer le droit de penser autrement. Alors oui, il eut ses tor-ts. Oui, il a manqué certains rendez-vous avec lui-même, avec ses camarades, avec son pays. Mais à l’heure où l’on écrira le livre d’or de la République, nul ne pourra refermer les pages du multipartisme sans y lire son nom. Car Gbagbo, c’est la houe qui laboure et la pierre qui résiste. C’est l’homme qui a rendu la parole au peuple. Et pour cela, il restera, à jamais, l’un des pères du souffle démocratique ivoirien.
Octobre 1968, consécration de Monseigneur Agré comme évêque de Man .
🔴#cotedivoire #contribution Un prêtre réagit face aux "éternels éminents opposants aux D�...
🔴#cotedivoire #contribution Un prêtre réagit face aux "éternels éminents opposants aux Déclarations des évêques de Côte d’Ivoire" A la veille de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, au nom de l’Eglise catholique, les archevêques et évêques ont appelé à l’apaisement et à la prière. Dans cette Lettre qui n’est que l’aboutissement de plusieurs déclarations dans le cadre de la situation socio-politique, les Pasteurs catholiques en Côte d’Ivoire, ont simplement lancé un appel à l’apaisement et à la prière. Nous reviendrons sur les deux thématiques de cette Lettre. Comment ce dernier message a-t-il été reçu ? Il ressort de notre observation, que l’appel des évêques a été bien reçu par beaucoup d’Ivoiriens attristés, angoissés et soucieux. Cependant, pour d’autres, les évêques ont manqué de courage, d’audace et d’énergie prophétique. Les différentes réactions sont légitimes parce que même le message du Christ appelé la Bonne Nouvelle est diversement reçu et apprécié. Cela fait partie de l’homme, de sa capacité à se positionner différemment. Quel est mon avis ? A tous ceux qui pensent que les évêques de Côte d’Ivoire n’ont pas le courage d’Amos, de Jérémie, d’Ezéchiel ou de Jean-Baptiste, je peux leur concéder cela. Mais je leur demande seulement de revisiter les Déclarations de l’Eglise catholique de Côte d’Ivoire de 1960 à 2025. Je peux leur transmettre toutes les Déclarations que je prends plaisir à lire, à relire, à analyser et à compiler pour les générations à venir. En lisant minutieusement les Déclarations des évêques de notre pays, on retrouve l’audace prophétique de Jérémie, la force d’Amos, la vérité de Jean-Baptiste et la diplomatie paulinienne. Quand, depuis Korhogo, Agboville et Bassam, les évêques ensemble dans une dynamique collégiale parlent clairement, dénoncent, annoncent, qui les écoute ? Quand les évêques montrent la mer et que les politiciens préfèrent regarder la boue, est-ce la faute des évêques ? Quand les évêques parlent ensemble ou individuellement invitant sans détour au respect de la Constitution, qui décide d’appliquer et de pratiquer le message des évêques ? Quand une déclaration du Cardinal pousse des politiciens à prendre en otage la cathédrale, n’est-ce pas là le devoir d’un prophète ? Il faut juste connaître la mission des évêques. La Conférence Episcopale dans un pays, n’est pas un parti politique. La mission des évêques est d’abord spirituelle, religieuse et ecclésiale. L’Eglise étant dans une société, les évêques sont invités à porter l’Evangile du Christ dans le monde dans le but d’éclairer, d’orienter, de soutenir et d’accompagner, c’est-à-dire d’être sel et lumière dans leur pays. Les Déclarations des évêques n’ont pas pour but d’enflammer, d’incendier ni d’affirmer la grandeur ou la force militaire de l’Eglise catholique. Le message des évêques a pour finalité d’apaiser, de rassembler, de réconcilier, de réunir, de dénoncer les injustices mais toujours, comme dit Paul dans les Lettres pastorales, dans le but d’instruire et d’aider. Quand on lit le dernier message des évêques, je pense que dans ce contexte précis, il faut appeler à l’apaisement et à la prière. En effet, après avoir dénoncé à plusieurs reprises, interpellé les différentes parties, que faut-il faire quand ceux qui ont des armes, des poudrières et des foules n’écoutent pas ? Quand on analyse le message des évêques, nous trouvons le ton d’un Père fatigué de parler à son fils, mais vers la finale, le Père ne se décourage pas, garde l’espérance et fait toujours confiance au fils parce qu’il pense que ce dernier l’écoutera. A Dingbê nos grands-parents disent que « quand il y a le feu, il faut orienter la foudre ailleurs ». C’est ce qu’ont fait les évêques dans cette Lettre. Que retenir ? N’oublions pas que la Côte d’Ivoire n’est pas un pays catholique, la Côte d’Ivoire n’est pas un royaume gérer par la Conférence Episcopale. La Côte d’Ivoire est un pays laïc, en Côte d’Ivoire il y a l’Islam, les Protestants avec tous les démembrements, nous avons des groupes secrets, des religions traditionnelles et des cercles de pensées. Il faut féliciter les évêques de Côte d’Ivoire et leurs prêtres qui parlent, qui parlent et qui parlent sans peur malgré les paroisses attaquées par des bandits, des prêtres souvent insultés, des évêques calomniés, des cathédrales attaquées. Les évêques parlent, beaucoup de chrétiens les écoutent mais les autres, parlent-ils à leurs adeptes dans le même sens de paix et d’apaisement comme le font les évêques ? Si les catholiques décident d’aller à la paix en écoutant leurs pasteurs, pour qu’il y ait la vraie paix, il faut que les autres parlent aussi d’amour. Au lieu de toujours s’attaquer au message des évêques, qui au moins parlent, demandons à ceux qui ne parlent pas ou qui parlent de manière clanique, de suivre l’exemple des évêques. C’est là qu’on attend les éminents éternels opposants des évêques. "C’est là qu’il faut creuser" pour reprendre la parole de mes amis artistes : Espoir 2000. Père Marius Hervé Djadji Prêtre du diocèse de Yopougon
"L'évêque est appelé à semer avec patience, à cultiver avec respect, à attendre avec espoir." ...
"L'évêque est appelé à semer avec patience, à cultiver avec respect, à attendre avec espoir." C'est sur ces mots que le pape Léon XIV a présenté la mission que reçoit aujourd'hui Mgr Miros ław Stanis ław Wachowski, archevêque titulaire élu de Villamagna de Proconsolare et nouveau Nonce apostolique en Irak, ordonné ce dimanche 26 octobre à l'autel de la chaire de la basilique Saint-Pierre. Le Saint-Père a ouvert son homélie dans cette eucharistie, la première ordination épiscopale qu'il préside depuis le début de son ministère pétrin, soulignant la joie de l'Église de Rome "avec l'Église universelle, exultant par le don d'un nouvel évêque", et évoquant la devise de l'archevêque polonais : Gloria Deo Pax Hominibus. Un programme de vie qui, a-t-il expliqué, « cherche toujours à ce que la gloire de Dieu brille dans la paix parmi les hommes ». Pour en savoir plus : https://www.vaticannews.va/es/papa/news/2025-10/papa-leon-misa-ordenacion-episcopal-nuncio-irak.html #PapaLeónXIV #OrdenaciónEpiscopal #NuncioApostólico
La Prière au « Sacré-Coeur de Jésus » de Sainte Marguerite-Marie Alacoque : « Ô très amou...
La Prière au « Sacré-Coeur de Jésus » de Sainte Marguerite-Marie Alacoque : « Ô très amoureux Coeur de mon unique amour Jésus, ne pouvant Vous aimer, honorer et glorifier selon l’étendue du désir que Vous m’en donnez, j’invite le ciel et la terre de le faire pour moi ; et je m’unis à ces ardents séraphins pour Vous aimer. Ô Coeur tout brûlant d’amour, que n’enflammez-Vous le ciel et la terre de Vos plus pures flammes pour en consommer tout ce qu’ils enserrent, afin que toutes les créatures ne respirent que votre Amour ! Changez-moi tout en Coeur pour Vous aimer, en me consommant dans Vos plus vives ardeurs. Ô Feu divin, ô Flammes toutes pures du Coeur de mon unique amour Jésus, brûlez-moi sans pitié, consommez-moi sans résistance ! Ô Amour du ciel et de la terre, venez, venez tout dans mon Coeur pour me réduire en cendres ! Ô Feu dévorant de la Divinité, venez, venez fondre sur moi ! Brûlez-moi, consommez-moi au milieu de Vos plus vives flammes, qui font vivre ceux qui y meurent. Ainsi soit-il ! » Sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690)
ELLE A ÉPOUSÉ DEUX PRÉSIDENTS ET EST DEVENUE PREMIÈRE DAME DE DEUX PAYS DIFFÉRENTS Plus conn...
ELLE A ÉPOUSÉ DEUX PRÉSIDENTS ET EST DEVENUE PREMIÈRE DAME DE DEUX PAYS DIFFÉRENTS Plus connue sous le nom de Graça Machel, mais née Graça Simbine le 17 octobre 1945 dans la province de Gaza, au Mozambique, elle est une humanitaire, éducatrice et militante de renom. Elle a la particularité d'être la seule femme de l'histoire à avoir été Première dame de deux nations africaines grâce à ses mariages avec deux présidents. Elle a épousé en premier lieu Samora Machel, premier président du Mozambique, le 19 septembre 1975, date de l'indépendance du pays. En tant que Première dame et ministre de l'Éducation et de la Culture, elle a défendu l'alphabétisation et la scolarisation, inscrivant plus de 1,5 million d'enfants dans des programmes éducatifs en pleine guerre civile. Le couple a eu une fille, Josina (née en 1976), et elle est devenue la belle-mère de ses quatre enfants issus de relations précédentes. Leur union prit fin tragiquement le 19 octobre 1986, lorsque Samora décéda dans un mystérieux accident d'avion près de la frontière entre l'Afrique du Sud et le Mozambique, soupçonné d'être lié à un sabotage datant de l'époque de l'apartheid. Elle épousa en secondes noces Nelson Mandela, premier président sud-africain post-apartheid, le 18 juillet 1998, jour de son 80e anniversaire, lors d'une cérémonie privée à Johannesburg. Leur lien, forgé par leur engagement commun en faveur de la paix, des droits humains et du bien-être des enfants, symbolisait la réconciliation entre le Mozambique et l'Afrique du Sud. Graça soutint l'héritage mondial de Mandela tout en poursuivant son propre travail, notamment en cofondant des initiatives comme le Forum des éducatrices africaines. Mandela décéda le 5 décembre 2013, après 15 ans de mariage, la laissant seule pour poursuivre leurs causes communes au sein d'organisations comme The Elders et son Graça Machel